LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.12)

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Les participants

[12] Élisabeth Rigot:

Son travail mystérieux et et suggestif par moments, fait appel à l’intuition du spectateur et son inspiration sonde par moments avec bonheur les mystères des Origines, les joies de l'existence. Élisabeth Rigot explore de nombreuses disciplines artistiques : la photo, la linogravure (et la gravure au sens large), la peinture sur divers supports et, notamment sur bois de récupération, le dessin, etc. Mais là où elle excelle est sans doute son approche de la sculpture en deux dimensions sur blocs de bois également de récupération. D'habiles découpes tenant à la fois du sciage et du dessin lui permettent de créer un monde personnel intimiste où le message perce, jamais ouvertement exprimé, toujours suggéré, murmuré, subtilement offert, comme distillé.

 

Un art original qui attire à la fois le regard et l'attention invitant délicatement à la rêverie, mais aussi à la réflexion profonde sur la vie et sur l'art.

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Née en 1966 à Tours. La cinquième dans une fratrie de huit enfants!

A vécu dans un petit village de Touraine, dans une grande maison, jusqu'à ses 9 ans. Père, artiste, il peignait dans son atelier, mère institutrice travaillant à l'école du village.

A 14 ans part dans une école alternative, voyages. Ensuite, lycée autogéré.

Étudiante, Beaux-arts de Bordeaux : 1986-1989. Puis École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris : 1990-1993.

Ensuite, voyages, travail (Tunisie, Sardaigne, Malte, traversée de l'atlantique à la voile, Antilles) pendant cinq ans, puis retour en France. Fondation d'une famille et construction d'une maison.

Depuis 1998, domicile dans la campagne gersoise.

"Tout au long de mon parcours, je n’ai jamais cessé de créer, en photographie argentique d'abord, la gravure, dessins, peintures ainsi que d'autres supports rencontrés en chemin. Je ne suis pas artiste à plein temps, je compose avec ma vie de famille, un travail rémunéré, mon jardin, et mon inspiration… Je travaille depuis 3 ans avec du bois que je découpe, dont le sujet principal est la femme, ce qui l'habite, la traverse... "

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"Originaire de Tours, Élisabeth Rigot a adopté le Gers depuis la séparation de ses parents et vit définitivement dans ce département depuis quinze ans. Après avoir fait l’école des Beaux-Arts de Bordeaux de 1986 à 1989, elle a intégré l’école nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, de 1990 à 1993. Dès lors, son maître mot a toujours été «créer», créer dans différents domaines artistiques : la photographie, le dessin, la peinture, la linogravure, la gravure… "

(La Dépêche du Midi)

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 Expositions :

Juin 2002 : Salle de l'Orangerie à Aire sur l'Adour, « Femmes » exposition collective,Linogravures et photographies argentiques.

Juillet et août 2002 : Mont de Marsan : exposition collective, Linogravures et photographies argentiques.

Juin 2003 : Festival Spirale à histoires. Linogravures et photographies argentiques.

Juillet 2003 : Galerie « Du Coq à l’Âne » Aignan (Gers): linogravures.

Décembre 2003 : Marché de Noël à Auch : Linogravures et puzzles en bois peint.

Été 2004 : Galerie « Du Coq à l’Âne » Aignan (Gers): linogravures.

Août 2011 : Galerie Peleyre, St Lanne : Photographies argentiques.

Mars 2012 : Expo collective à Auch, salle des Cordeliers : Peintures et linogravures.

Mai 2012 : Les Femmes et les métiers d'art, Aire sur l'Adour  : Linogravures et peintures sur bois.

Août 2013 : Église de Mazère. Exposition en duo avec Marie Rigot « De l'une à l'autre » : Linogravures, photographies, peintures sur bois , peintures à l'huile, sculptures.

Juin 2013 : Salle de la Mairie : « Tentations primitives » Découpes de bois (les « en-bois ») et linogravures.

Mai 2014: Les Femmes et les métiers d'art, Aire sur l'Adour : Découpes de bois (les « en-bois ») et linogravures.

Juin 2014 : Quinzaine de la photographie. Maubourguet. Photographies argentique.

Juillet-août 2014 : La Halle, Marciac (jazz in Marciac). Découpes de bois (les « en-bois ») et linogravures.

Août 2014 : Montréal du Gers, « Les Natives » : Découpes de bois (les « en-bois »), linogravures, peintures sur bois , peintures à l'huile.

site : elisabethrigot.jimdo.com

Élisabeth Rigot aux Culturiales de l’été 2015.

Élisabeth Rigot participe au Festival des Arts plastiques, Arts appliqués et populaires samedi 18 juillet. Elle y expose et met en vente une partie de sa production.

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.11)

 (3)

Les participants

[11] Monique Métery:

La potière aux oiseaux!

Cette parisienne née à Montmartre a plusieurs cordes à son arc. Ses vaisselles n’ont d’égal …que la saveur de ses crêpes!

Dans le Baronnies, elle habite une maison très visitée …par les oiseaux.

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Les lampes

Bien qu’elle ne les mette pas en vente, les lampes de Monique Métery son remarquables. Elles diffusent une lumière jaspée indirecte qui illumine plus qu’elle n’éclaire. Les motifs sont de divers types et les thèmes répétés abondent. Les formes arrondies et coniques prédominent. 

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Les commandes

Sans en faire le cœur de son activité, elle accepte, répond et exécute des commandes. Remarquable réalisation, cette série de soupières en forme de potiron destinées à un restaurant réputé. 

Elles sont utilisées pour servir la garbure traditionnelle d’une manière originale et sympathique.

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La vaisselle

Elle constitue l’activité essentielle de Monique. Alliant esthétique et sens pratique, ces travaux, aux couleurs joyeuses, issus de son atelier des Baronnies sont à même d’égayer tables et étagères. 

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Monique Métery aux Culturiales de l’été 2015.

Monique Métery participe au Festival des Arts appliqués et populaires samedi 18 juillet. Elle y expose et met en vente une partie de sa production.

 

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.10)

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Les participants

[10] Laura Dedieu et Adrien Vertallier:

Les architectes du local & les boîtes à bouquins

Une idée qui fait son chemin

Dans le cadre des Culturiales 2015, les architectes du Local, Laura Dedieu et Adrien Vertallier proposent de réaliser des « boîtes à bouquins & co » dans la ville de Bagnères-de-Bigorre en s’appuyant sur l’étude urbaine réalisée dans le cadre de leur diplôme à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles, « Ré-inventer ensemble un territoire, à Bagnères-de-Bigorre dans la vallée du Haut-Adour »

Les « boîtes à bouquins & co» sont des outils d’échange et de partage de livres mais aussi une manière de se réapproprier l’espace public, tout en incluant la possibilité d’y intégrer de petits objets, pour une forme d’économie basée sur le don.

Inscrire une « boite à bouquin & co » dans la ville permet à tout un chacun de re-découvrir un paysage, la particularité d’un site, d’offrir un moment de repos, ou de renforcer des pratiques déjà existantes. Elle est un outil d’échange, de transmission, de confiance. A la fois objet, mobilier, repère, et abri partagé.

Bagnères-de-Bigorre et la vallée du Haut-Adour recèlent d’importantes ressources qui seront mise à contribution dans le cadre de ce projet, selon le principe de l’inventaire et du réemploi.

Récupérer des matériaux, transformer de vieux meubles en objet design, s’essayer au réemploi du bois de palette et autres matériaux à expérimenter, sera la condition de réalisation des « boîtes à bouquins & co ». C’est aussi et surtout faire appel, au savoir de chacun, stimuler une réflexion et un imaginaire collectif.

A travers divers ateliers qui se clôtureront par un workshop – atelier en anglais, celui du bricoleur – les deux jeunes architectes proposent aux habitants de la ville de participer à l’ensemble de la réalisation de ces « boîtes à bouquins & co».

Chacun peut intégrer le processus, à son échelle, de la conception à la réalisation, et ainsi apporter ses connaissances, son regard, ses compétences, mais aussi des outils, des matériaux, du mobilier, participer aux repas… à la manière d’une auberge espagnole. Ces différentes étapes feront l’office d’ateliers ouverts à tous (entre fin avril et début juillet).

Le projet se clôturera par la fabrication des boîtes lors du workshop, chantier participatif et moment privilégié d’échange et de transmission des savoirs, qui se tiendra durant les Culturiales 

(29 juillet/5 août)  au GEM, 2 rue du 19 mars 1962 à Bagnères-de-Bigorre.

Inscrivez-vous rapidement au projet afin de participer à cet événement hors du commun !

lelocal.b2b@gmail.com ou bien via le 06 07 12 71 20.

Laura Dedieu et Adrien Vertallier sont architectes. Ils ont animés durant plusieurs années des festivals et workshops. Du mobilier à la petite architecture, leurs ateliers ont été l’occasion de questionner le chantier et la création architecturale en replaçant l’humain au centre du projet. Une démarche qu’ils ont mis en œuvre également à l’échelle de la ville, à travers leur projet « Ré-inventer ensemble un territoire » à Bagnères-de-Bigorre, qui leur a permis d’obtenir leur diplôme d’architecture avec les félicitations du jury (restitution publique à Bagnères-de-Bigorre, le 9 avril 2015, 19h, à l’Espace Maintenon).

http://dval2015.wix.com/presentation

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.9)

 

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Les participants

[9] Colin Gowland:

La Vannerie

Les plus anciens objets de vannerie datés par la technique de datation au carbone 14, remontent à plus de 10 000 ans, ce qui situerait ces objets dans le temps comme précédant les premières poteries. Ces pièces de vannerie ont été découvertes à Fayum en haute Égypte. D'autres, remontant à plus de 7000 ans, ont été trouvées au Moyen-Orient…

Ceci pour montrer que la vannerie est un art ancestral qui remonte à la nuit des temps.

Colin Gowland

Cet Anglais « de base », comme il se définit lui-même, a installé son atelier de vannerie en Barousse, dans la commune de Thèbe, dans un petit vert vallon où l’eau abonde.

Il tresse un osier bio qu’il récolte en Charente, dans une oseraie de 4000 m2 qu’il partage avec d’autres artisans. Cette oseraie est conduite au naturel, sans produits chimiques, contrairement aux grandes oseraies conventionnelles, en Haute-Marne et en Touraine, qui reçoivent bon an mal an quatre ou cinq traitements chimiques, dont des insecticides nombreux. Il faut dire que les insectes adorent le bois tendre de l’osier.

Colin Gowland a appris la technique dans les livres. Autodidacte, sa vocation est née d’une rencontre avec des gitans qu’il a vus tresser. C’est en les voyant faire que, à l’âge d’à peine 20 ans, l’idée lui est venue. Ensuite, il a acheté un livre… et la vie et la passion ont fait leur œuvre.

Il s’est installé en France il y a une quinzaine d’années, dans la Barousse. Il est le père de trois enfants.

C’est dans son atelier de Barousse qu’il reçoit et emmagasine l’osier brut, puis le trie par catégories, par tailles, par variété, par qualité et couleur, le pèle soigneusement après un séjour dans l’eau, puis le tresse avec l’art consumé du professionnel passionné…

Colin Gowland exécute des commandes, vend sa production dans les marchés, l’expose… La demande est variable selon les périodes.

Colin Gowland aux Culturiales de l’été 2015.

Colin Gowland participe au Festival des Arts appliqués et populaires samedi 18 juillet. Il y expose et met en vente une partie de sa production.

Il revient pour partager son savoir samedi 25 juillet à l’occasion de l’Atelier des Arts appliqués.

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.7)

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Les participants

[7] Arnaud Begay:

 

Arnaud Begay vous invite à une balade photographique au cœur des Pyrénées.

Découvrez toute la beauté du relief pyrénéen à travers ses photographies exposées à l'atelier “Les 12 Couleurs”, 2 rue Justin Daléas à Bagnères du 15 juillet au 15 août 2015.

"La photo devient vivante dès qu’elle est exposée, et donc de ce fait, partagée. Mais là est le problème, l’exposition! Il est facile de s’auto-satisfaire en les gardant pour soi, mais il finit par naître une frustration. Exposer ses photos, c’est dévoiler une partie de soi-même. N’y voyez pas une quête de reconnaissance (quoique...) mais plutôt la satisfaction du travail achevé. Tout cela peut sembler anodin mais derrière ces instants de vie, il y a une émotion, un regard et beaucoup de bonheur. Peut-être est-ce d’ailleurs ce dernier que je souhaite partager avec vous ?" 

 

Arnaud Begay

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.8)

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Les participants

[8] Les 12 couleurs:

L'atelier « les 12 couleurs », a posé ses valises le 1er septembre 2012, 2 rue Justin Daléas à Bagnères de Bigorre. C'est un espace où se déroulent plusieurs évènements créatifs, conviviaux et pluridisciplinaires :
* Atelier d'arts plastiques, cours d'apprentissage de dessin, toutes techniques d'arts plastiques ( peinture, collage...) pour adultes et enfants.
* Ateliers créatifs, stages de découverte et de perfectionnement sur différentes techniques, organisés toute l'année pour adultes et enfants.
* Atelier d'art-thérapie, élaboration d'une prise en charge thérapeutique dans le but d'un mieux être physique et psychologique (sur prescription médicale).
* Intervention en milieu scolaire et médical, élaboration d'un projet artistique en lien avec la découverte d'un savoir faire et de connaissances artistiques.
* Espace d'exposition, accueil d'artistes actuels.
« Les 12 couleurs » est ouvert du mercredi au samedi, vous pouvez retrouver tous les ateliers sur le site : les12couleurs.fr, ou contacter Magali Fabre 06 24 89 46 53.

Ce projet les 12 couleurs, est tout d'abord parti d'une envie de partager une passion, le dessin, les arts plastiques. Diplômée de la faculté de la Sorbonne et de la Faculté de Médecine de Poitiers, j'ai voulu regrouper dans un même espace mes deux compétences, le dessin et l'art-thérapie. Dans cet atelier dont la porte est toujours ouverte, vous pouvez retrouver différentes personnes qui partagent la même passion au milieu d’œuvres d'artistes pour la plus part de la région. Cet un espace ouvert à tous où est mis en place un enseignement classique, académique mais aussi créatif, adapté à vos envies.
Fabre Magali, les 12 couleurs 06 24 89 46 53. les12couleurs.fr

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.6)

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Les participants

[6] Éric  Treuvey:

 

Déambulation guidée et en musique vers la première partie de l'exposition d'Eric Treuvey  

«enveloppes» 20 rue des thermes, puis dans la boutique «Pachamama» place de Strasbourg, puis, suite de l'exposition (dessins +peintures) au GEM(Groupe d'Entraide Mutuelle), 2 rue du 19 mars 1962 à côté de l'Office de tourisme, puis, suite de l'exposition dans un «jardin suspendu» avec exposition «les cintres», au «Chat ronfleur» 3 rue Alfred Cazalas (chambres d'hôtes), puis, 19h30/20H30 vernissage de la rétrospective «crocquis peints» chez l'artiste, 17 rue de Nansouty, Bagnères (l'exposition chez l'artiste sera visible jusqu'au dimanche 19 juillet au soir).

Corps éclatés

Comme pour de nombreux gamins, le dessin a été très important pour moi surtout de 10 à 13 ans(1969-1972) ou je reproduisais des personnages de bande dessinée, puis lorsque les adultes m'ont conseillé de représenter le réel et devant mon incapacité à le faire j'ai cessé cette activité.

J'ai repris une activité artistique, à la suite d'une nouvelle rencontre (1976) avec un ancien copain d'école qui réalisait des compositions géométriques à l'aide de stylos feutres. J'ai réalisé alors qu'on pouvait continuer à créer sans pour autant représenter le réel.

J'ai commencé par regrouper sur grand format des dessins que je faisais sur papier libre, puis par le collage.

Lorsqu’au niveau professionnel j'ai arrêté(1994)les travaux saisonniers(cueillette en France et à l'étranger, travail de la vigne dans le Gard et le Frontonais)pour être facteur(6 ans à Paris et 5 ans à Ax-les-thermes en Ariège) j'ai profité de cette stabilité géographique pour participer à différents ateliers:d'expression libre,de modelage,de nu : à Paris, en Ariège, à Toulouse.

Puis j'ai arrêté le travail de facteur pour faire une licence d'arts plastiques(2004-2007, 2ans en arts appliqués et 1 an en arts plastiques) au Mirail en reprenant parallèlement les travaux saisonniers.

Installé à Bagnères de Bigorre depuis 3 ans,les travaux d'aménagement des deux maisons que j'ai habitées ne m'ont pas permis de reprendre une activité artistique intense si ce n'est des  « gribouillages » et des «griffonnages» sur de vieilles enveloppes et quelques recherches graphiques.

Actuellement en train de m'installer un atelier je présente une rétrospective de mon travail afin d'échanger, d'analyser avant de continuer à suivre d'anciennes pistes et d'en découvrir de nouvelles.

 

 

L'écervelé


 

Jeudi 16 juillet à partir de 18 h

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.5)

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Les participants

[5] Maryse Bouyrie:

CAMPAN, village de caractère

Une visite à travers les lieux emblématiques du bourg

( Exclusivité Les Culturiales de l’été 2015)

Les jeudis 23 juillet et 6 août, pré-visite le 13 juillet. 15 h à Campan sous la halle, près de la fontaine(10 min. de Bagnères)

Capitale de la vallée qui porte son nom, Campan est un village qui garde dans ses rues, dans ses maisons, et jusque dans les noms de ses venelles, passages et ruelles les restes de son passé prestigieux.

Un patrimoine incomparable, Campan eut jadis un château, sa motte en témoigne, une industrie de scierie abondante, des moulins, 

une halle et une fontaine « au beurre », car le beurre, fruit d’un pastoralisme florissant, a été la richesse traditionnelle de la vallée. Il était rafraîchi dans la fontaine aux vasques ad-hoc, vendu sous la halle et expédié vers la région de Bordeaux.

L’église Saint-Jean Baptiste, du XVIe siècle conserve un banc des consuls qui témoigne d’une organisation sociale particulière, un bénitier des cagots (ainsi que la porte et l’entrée réservé à ce peuple maudit), un retable des Frères Ferrère, célèbres sculpteurs d’Asté de l’école baroque.

Cette visite vous permettra de connaître l’origine des porches en marbre du XVII et XVIIIème siècles, les maisons des notaires, en particulier celle attaquée à la Révolution par les « gars de La Séoube », insurgés, ainsi que la maison de l’horloger et la couleuvre du boulanger.

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Pour la première fois, Les Culturiales de Bagnères-de-Bigorre sortent de la ville et de la commune pour pénétrer dans son territoire cantonal.

Cette « excursion » permettra de connaître la patrie de Dominique Gaye Mariolle (portrait à la mairie de Campan), de visiter un « leyté », cet ancêtre local et montagnard du frigidaire, lieu qui permettait de maintenir au frais le lait et le beurre.

Vous connaîtrez l’histoire des « mounaques de Campan », 

celle de Dominique Gaye-Mariolle, insigne sapeur de l’Empereur, 

 celle des Pastourelles de Campan, l’histoire du Pic du Midi de Bigorre et des forçats qu’on appelait « les porteurs du Pic », l’histoire des aînés et des cadets et du droit d’aînesse, ouvert aux femmes, 

 

l’Histoire de Madame Campan, lectrice de Marie-Antoinette qui portait le nom de la vallée et n’a jamais mis les pieds à Campan, 

l’histoire de La Mongie, de la neige et de ses pionniers,

l’histoire de Brassens dans la vallée, puisqu’il a séjourné six ans de suite à l’ancienne auberge du Val d’Arizes… 

l’histoire d’Yvonne Arène-Cuilhé qui le recevait, qui avait créé les Pastourelles de Campan en 1918 à l’âge de 18 ans, l’histoire du pastoralisme,

 l’histoire du tram qui devait arriver jusqu’au Pic, 

l’histoire d’Eugène Christophe, héros du tour de France, l’histoire du gâteau à la broche …

*

La visite de Campan, village de caractère, est une ouverture culturelle permettant de se plonger dans le passé et le présent, sans refuser l’avenir, d’un village pyrénéen de montagne qui a su traverser les époques en en gardant des souvenirs à transmettre aux générations présentes et futures.

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Maryse Bouyrie, guide de cette visite commentée et guidée (environ une heure de visite).

Maryse Bouyrie habite le bourg de Campan depuis sa jeunesse. Elle y a été commerçante, créatrice d’animations, membre émérite de nombreuses associations et fait visiter et connaître le village aux touristes et amateurs de patrimoine. Elle a une culture locale remarquable, connaît par cœur le patrimoine de la ville et l’explique et commente avec passion et érudition.

LES CULTURIALES DE L’ETE 2015 (16 JUILLET - 16 AOUT) (3.4)

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Les participants

[4] Éric Lejeune:

Une petite histoire de chimie

En partant de la préhistoire avec la création du feu en passant par les grandes idées philosophiques grecques, les préceptes de l’alchimie, la découverte de la vie du Père de la chimie moderne et en finissant par les applications modernes de la chimie, découvrons comment cette science a modifié notre vie de tous les jours.


 

Médiateur scientifique
et chargé de veille à la recherche active d’un emploi,06.21.74.83.52,  Eric Lejeune, suite à des études menées à l’Institut CURIE sur le développement d’une molécule pour faciliter l’étude des cancers ainsi qu’à l’Institut Jacques Monot (Paris VI) sur l’ADN d’araignées afin de trouver un vaccin contre le paludisme, il obtient un DEA sur l’utilisation des différents appareils d’analyse chimique. 

 

En parallèle, il se passionne très tôt pour l’astronomie en encadrant des groupes d’élèves pour des préparations de projet sur l’étude des cratères lunaires et les étoiles doubles. Après une année d’enseignement, il se dirige finalement vers un master des grandes écoles en veille et innovation et il est nommé ,suite au diplôme, en tant que chef de projet veille et innovation pour le développement d’un projet de création d’une plateforme de veille et de mise en contact laboratoire- entreprise ainsi que par la suite chargé de veille en chimie organique. Il a, enfin, été conférencier médiateur scientifique en astronomie et journaliste responsable scientifique de la rubrique Sciences pour le petit journal des hautes Pyrénées.

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La Bouquinerie associative

Le dimanche 19 juillet à 15 H