Lianne de Tigrisse: une conteuse des origines
«Les trois
clefs», «Les veilleurs», «La samodiva»… des titres qui mettent
l’eau à la bouche, qui éveillent, qui racontent la vie, qui
suscitent le rêve et transfigurent la réalité.
Ces contes nous
viennent du plus clair et du plus profond de l’âme des pays de la
lointaine Europe: de Pologne, d’Irlande, de Hongrie, d’Estonie…
Lianne de Tigrisse connait les chemins et pas les frontières, elle
voyage et elle raconte l’eau et la terre, c’est-à-dire les gens,
le monde et l’origine des gens et du monde.
Ces contes sont
le fil d’or d’une tradition qui jamais ne s’estompe…
Lianne de Tigrisse raconte à La Dépêche du Midi (22.08.2011):
«Je suis
enseignante en français dans un collège de la banlieue parisienne,
le 93 plus exactement. Je m'y plais ; les élèves sont très
intéressants. J'ai créé il y a une dizaine d'années un club de
théâtre, nous avons commencé à jouer au sein du collège et puis
aujourd'hui nous jouons au théâtre municipal. J'enregistre
régulièrement des pièces de théâtre, des poésies pour les mal
voyants. Depuis des années nous faisons partie, mon époux et moi,
d'une association médiévale parisienne. Nous participons
régulièrement en tant que figurants aux festivals médiévaux comme
par exemple Provins…»
J'ai bien aimé les contes dits par Lianne de Tigrisse au Salon de Lecture et j'espère en entendre de nouveau.
RépondreSupprimerUne dame qui était aussi présente m'a dit qu'elle avait été d'autant plus séduite par cette animation qu'elle est en train de perdre la vue et donc ne peut plus lire.
Continuez...!